Cellules souches et neurogenèse dans la rétine (SCANR)
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publications
Langhe R, Chesneau A, Colozza G, Hidalgo M, Locker M and Perron M (2017). Müller glial cell reactivation in Xenopus models of retinal degeneration. Glia, 65(8):1333-1349. Hamon A, Masson C, Bitard J, Gieser L, Roger JE, and Perron M (2017). Retinal degeneration triggers the activation of YAP/TEAD in reactive Müller cells. IOVS, 58(4):1941-1953.
Schietroma C*, Parain K, Estivalet A, Aghaie A, Boutet de Monvel J, Picaud S, Sahel J-A, Perron M, El-Amraoui and Petit C. (2017). Shaping of the photoreceptor outer segment by the calyceal processes of the inner segment. Journal of Cell Biology, 216(6):1849-1864.
Pfirrmann T, Jandt E, Ranft S*, Lokapally A, Neuhaus H, Perron M, Hollemann T. (2016). Hh-dependent E3-Ligase Mid1 leads to ubiquitin-mediated proteasomal degradation of Pax6 protein from the forming optic stalk. PNAS 113(36):10103-8.
Cabochette P, Vega-Lopez G, Bitard J, Parain K, Chemouny R, Masson C, Borday C, Hedderich M, Henningfeld K, Locker M, Bronchain O, Perron M (2015). YAP controls retinal stem cell DNA replication timing and genomic stability. eLife 4:e08488.
Fields of research
Research Theme
Notre équipe SCaNR est associée au laboratoire privé de l’association Retina France, le CERTO (Centre d’Etudes et de Recherches Thérapeutiques en Ophtalmologie) avec lequel nous menons nos projets de recherche en collaboration.
Notre objectif à long terme est de contribuer aux avancées scientifiques permettant le développement d’approches thérapeutiques innovantes chez les patients atteints de maladies dégénératives de la rétine telles que les Rétinites Pigmentaires (RP) ou la Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge (DMLA).
L’une des stratégies choisie vise à revitaliser la capacité de régénération de la rétine qui est naturellement extrêmement limitée chez les mammifères. Au contraire, chez les poissons ou les amphibiens, différentes populations de cellules souches contribuent efficacement à la réparation de la rétine après lésion. Il s’agit donc de modèles de choix pour disséquer les voies de signalisation contrôlant les processus régénératifs et ainsi fournir des informations essentielles qui permettraient de stimuler la prolifération et le potentiel neurogénique des cellules souches rétiniennes dormantes des mammifères. Dans ce contexte, nous étudions et comparons chez le xénope et la souris, deux modèles dotés de capacités régénératives très différentes, les mécanismes qui sous-tendent la maintenance, le recrutement et l’activité des cellules souches rétiniennes adultes à la fois en conditions physiologiques et pathologiques de dégénérescence rétinienne.